Le lieu est ouvert en 1893 comme une salle de café-concert du nom de « Le Concert de la Ville japonaise », à tendance post-communarde, où se produisirent René Devilliers, Maxime Lisbonne, et le très jeune Maurice Chevalier en 1902 [2]. Ce dernier décrit le lieu, qu'il fréquentait à l'âge de quatorze ans :
Maintenant c'est devenu un théâtre